Mon niveau d’études :

Niveau BAC+3

En quelques mots :

Je tiens à préciser que mon parcours est très atypique..! Jusqu'à mon entrée au lycée, je n'avais qu'un seul objectif : entrer dans la police. Malheureusement, la taille était encore réglementée à l'époque. Lorsque j'ai appris que pour 4cm, mon rêve prendrait fin, je me suis sentie perdue. Je ne savais plus quoi faire. Mes parents m'ont orientés vers une filière médico-sociale, pensant faire de moi, une assistante sociale... Mon bac en poche, j'ai opté pour des études de droit, pensant trouver ma vocation au cours de ma première ou deuxième année... et c'est d'ailleurs ce qu'il s'est passé. A cette période, je rêvais d'indépendance et ai commencé à travailler pour me faire un peu d'argent. Ma carrière en restauration commence ici et durera 5 ans. Pour des raisons médicales, le médecin du sport m'ordonne de cesser mon activité dans ce domaine au risque de devenir handicapée, à vie. A 25 ans, j'ai préféré suivre son bon conseil. A nouveau perdue, j'ai donc réalisé deux bilans de compétences : l'un financé par mes propres moyens, l'autre par Pôle Emploi. Les deux résultats ont été sans appel. C'est l'immobilier qui m'était destiné. Locataire d'un logement géré par un grand réseau immobilier, j'ai décidé de contacter au culot, l'interlocuteur qui m'avait loué ma maison. Ce dernier m'a mise en relation avec une femme, aujourd'hui mon mentor, qui m'a formé et transmis l'amour de son métier (tout au long des semaines partagées ensemble, au cours de mon stage). Ma nouvelle carrière dans l'immobilier débute grâce à cette femme. D'abord en transaction, puis en location. Je deviens ainsi conseillère en location immobilière mais aussi, assistante de gestion immobilière. J'en viens à penser que ce métier était fait pour moi, jusqu'à ce que le COVID fasse son œuvre et transforme mes locataires en spécimens procéduriers, avec un profond manque de reconnaissance et une méchanceté hors norme. Réellement, si la menace d'être assignée en justice n'était pas aussi récurrente et pour des si petites sommes, j'aurais continué à m'épanouir dans ce métier... Aujourd'hui, je suis à la recherche d'un emploi où je pourrais pleinement m'accomplir. A l'aise avec la clientèle, je suis une bonne commerciale, avec un goût prononcé pour le challenge. En revanche, je ne souhaite plus de relations conflictuelles sur mon lieu de travail, tant avec mes collègues qu'avec mes clients. J'ai de grosses difficultés à rester en place et préfère être en mouvement, dès que cela est possible. Pour ce qui est de ma vie personnelle, je suis une sportive maladive à raison de 3 à 6 séances de sport/semaine. Je voue un amour inconditionnel pour mes chats. Avec mon conjoint, nous en avons 5 et un lapin. Avec ma famille et mes amies, ils sont ma priorité. J'aspire à devenir propriétaire et me marier avec Monsieur d'ici un ou deux ans. Nous avons d'ailleurs une passion commune : la cuisine, que nous maitrisons plutôt bien (il est ancien chef, quant à moi, j'ai dû apprendre pour obtenir mon BTS hôtellerie restauration) Bien que la société dise que j'ai l'âge, je ne pense pas à devenir mère dans l'immédiat. Grâce à mes parents, j'ai eu l'occasion de beaucoup voyager à travers le monde. Ce qui a développé ma curiosité et mon amour pour les langues étrangères (et mortes), même si l'anglais reste ma préférée (espagnol, italien, latin, grec et turc). Adepte des promenades en forêt, je suis également engagée dans la cause du "Don du Sang" que j'ai rejoint à peine ma majorité obtenue : j'essaye de le donner aussi souvent que possible. Je pense que c'est à peu près tout ? Sinon, je me tiens à votre disposition pour répondre à vos interrogations.

Je cherche :

un CDI

Je cherche :

un temps plein

Me former ?

OK pour me former à un nouveau métier si la formation dure moins d’un an

Travailler en horaires décalées ?

Oui

Permis de conduire :

Oui

Véhicule motorisé :

Oui